Les Diamants sont éternels

Les Diamants sont éternels

Les Diamants sont éternels

Diamonds are forever – 1971

Du Japon au Caire, James Bond poursuit Blofeld et finit par le tuer.  Mais, ce qu’il ne sait pas, c’est que son vieil ennemi est parvenu à créer des doubles parfaits et que c’est l’un d’eux qu’il vient d’éliminer. Peu après à Londres, « M » présente Bond à Sir Donald Munger, le président du syndicat des diamantaires, très inquiet de ne plus voir apparaître, sur le marché noir, des pierres de contrebande. Tout laisse à penser qu’une mystérieuse organisation est en train de constituer d’importants stocks.

Mais pour quel usage ? De plus, en Afrique du Sud, d’où l’on extrait près de quatre-vingt pour cent de la production mondiale de diamants, les morts violentes d’un dentiste et d’un pilote d’hélicoptère tendent à prouver que la filière de contrebande, ayant accomplie sa mission, a été éliminée.

  • James Bond : Sean Connery

    Tiffany Case :  Jill St. John

    Ernst Stavro Blofeld :  Charles Gray

    Abondance :  Lana Wood

    M :  Bernard Lee

    Willard White :  Jimmy Dean

    Burt Saxby :  Bruce Cabot

    Mr. Kidd :  Putter Smith

    Mr. Wint :  Bruce Glover

    Miss Moneypenny :  Lois Maxwell

    Felix Leiter :  Norman Burton

    Shady Tree :  Leonard Barr

    Bambi :  Donna Garrett

    Perle Noire :  Trina Parks

    Sir Donald Munger :  Laurence Naismith

    Peter Franks :  Joe Robinson

    Major Boothroyd « Q » :  Desmond Llewelyn

    Dr Metz :  Joseph Furst

    Mrs. Whistler :  Margaret Lacey

    Maxwell :  Burt Metcalf

    Marie :  Denise Perrier

    Morton Slumber :  David Bauer

  • Origine Grande-Bretagne
    Tournage 1971
    Durée 119 minutes
    Procédé Technicolor
    Format 2:35 Panavision
    Son Mono
    Production Eon / Danjaq Production
    Scénario Richard Maibaum, Tom Mankiewicz, d’après le roman de Ian Fleming
    Réalisateur Guy Hamilton
    Directeur photo Ted Moore
    Directeur artistique Jack Maxsted
    Décorateur Ken Adam
    Assistant décorateur Peter Lamont
    Effets spéciaux Leslie Hilman
    Cascades Paul Baxley
    Bob Simmons
    Montage Bert Bates
    Générique Maurice Binder
    Musique John Barry
    Chanson du générique Shirley Bassey
    Costumière Elsa Fennel
  • Sean DAF
    les diamants sont éternels

    Production

    Au service secret de Sa Majesté, sixième film de la série est un échec. Le premier enregistré par Broccoli et Saltzman depuis qu’ils produisent les aventures du héros de Ian Fleming.

    Ils se trouvent alors devant un choix douloureux : chercher un nouvel acteur ou accepter de payer une petite fortune pour convaincre Sean Connery de rempiler.

    Dans un premier temps, les producteurs se mettent à la recherche d’un successeur possible à George Lazenby. Le nom de Burt Reynolds est mentionné à plusieurs reprises. Mais il a été pressenti pour tourner Délivrance de John Boorman et il se fait tirer l’oreille. Finalement, John Gavin, alors âgé de quarante deux ans, semble bien parti.

    Mais, dans le même temps, David Picker, président des Artistes Associés, intimement persuadé que le succès de Bond dépend essentiellement de Sean Connery, décide de sortir le grand jeu. En février il s’envole pour Londres avec, dans ses bagages, une proposition on ne peut plus tentante. Car, au-delà d’un salaire d’un million deux cent cinquante mille dollars, il offre à Sean Connery un pourcentage sur les recettes et la promesse qu’United Artists produira deux films de son choix. Sean Connery ne peut résister et il accepte de signer le contrat, y ajoutant une clause spéciale qui, en cas de dépassement du temps de tournage prévu, à savoir seize semaines, lui assurerait un supplément de cent quarante cinq mille dollars par semaine de retard.

    En avril Guy Hamilton voit débarquer avec plaisir un Sean Connery en pleine forme, heureux de se retrouver au milieu d’acteurs qu’il connaît maintenant très bien. De Lois Maxwell à Bernard Lee, en passant par Charles Gray qu’il a déjà croisé dans On ne vit que deux fois et qui, cette fois, incarne l’ennemi quasi immortel de Bond, l’ignoble Blofeld.

    Résultat : un immense succès et un grand soupir de soulagement de la part d’United Artists, satisfaits de la recette et de n’avoir pas eu à dépenser un cent de plus pour dépassement du plan de tournage puisque, pour la première fois dans l’histoire de Bond, le film était achevé dans les temps.



  • Recette Mondiale
    116 000 000 $

    Entrées USA
    26 500 000 Spectateurs

    Entrées France
    2 493 739 Spectateurs

  • Allemagne 14/12/1971
    USA 17/12/1971
    Danemark 17/12/1971
    UK 20/12/1971
    Suède 20/12/1971
    France 20/12/1971
    Finlande 25/12/1971

  • Allemagne Diamantenfieber
    USA Diamonds are Forever
    Danemark Diamanter varer evigt
    UK
    Diamonds are Forever
    Suède Diamantfeber
    France Les diamants sont éternels
    Finlande Timantit ovat ikuisia

poster DAffr

Réalisé par Guy Hamilton (1972), avec Sean Connery, Jill St John et Charles Gray

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Les Affiches

Un commentaire sur “Les Diamants sont éternels

  1. Qui a fait la voix de l’enfant (Gary Dubin) en Français dans le James Bond, les diamants sont éternels ?
    Merci par avance pour la réponse

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